2015年夏・秋のパリ滞在より。WEB版限定公開。
Le livre de Paris.
Après y avoir séjourné en été et en automne en 2015.
– – – – – – – – – – – – – – – –
Escargot :
La ville de Paris est divisée en 20 arrondissements, qui tournent comme la coquille d’un escargot.
– – – – – – – – – – – – – – – –
Index :
2-3 Bonjour
4-5 Couleurs de Paris
6-7 La manière de passer l’après-midi
8-9 Les petits oiseaux et les fromages
10-11 La ville dans la nuit
12-13 Premier achat
14-15 Oeuf de neige
16-17 Mémoire de la forêt
18-19 Jardin de la fontaine
20-21 Bonne journée
– – – – – – – – – – – – – – – –
Bonjour. :
“Bonjour”
La sonorité du français me semble très douce.
Quand on parle la langue locale, on se sent un peu plus proche des gens qui y vivent. Paris, ça ressemble à quoi ? Un simple coup d’œil dans la vie parisienne révèle peu à peu ceci et cela de la ville de Paris.
– – – – – – – – – – – – – – – –
Couleur :
Si je devais décrire les rues de Paris en termes de couleurs, le beige et le gris seraient essentiels. La plupart des bâtiments sont en pierre beige, avec des toits gris.
Les balcons, les rampes de fenêtres et les lampadaires sont d’un gris plus profond.
Lorsque je suis venue à Paris pour la première fois en avril, il faisait encore trop froid pour appeler cela le printemps, et le temps instable avait imprimé dans mon esprit que Paris était une ville qui était faite pour les ciels nuageux.
– – – – – – – – – – – – – – – –
Sieste :
Dans les jardins de Versailles, sur les pelouses du jardin du Luxembourg, sur les rives du lac de Fontainebleau, partout il y avait des gens qui se reposaient et se relaxaient.
J’ai vu des densités où la distance avec le voisin est moins de deux mètres.
Comme je ne connais pas cette habitude, l’image semble un peu comique, mais quand on me dit qu’une fois l’été terminé, le ciel est gris en permanence et qu’il pleut beaucoup, cela me semble compréhensible.
Certains sont allongés pour lire un livre, d’autres sont assis pour discuter, profitant au maximum de cet après-midi d’été.
Avant de m’en rendre compte, j’avais pris l’habitude de faire une sieste au milieu de la journée.
Si je vois une pelouse, je vais m’y allonger.
Quand on est à Rome, on fait comme les Romains. On s’y habitue.
– – – – – – – – – – – – – – – –
Marché :
J’ai vu un marché des petits oiseaux. Perruches, Calopsittes et Diamant mandarin. Il y avait un oiseau au ventre vermillon et aux plumes jaunes avec un peu de bleu clair et de vert jaunâtre doucement mélangés, comme une peinture de Klee. Il y avait aussi des lapins, des écureuils et même un gros poulet, alors je me suis demandé si c’était un marché comestible…un dimanche après-midi.
– – – – – – – – – – – – – – – –
Vélo :
Une balade nocturne à vélo à travers Paris.
La rue est calme, ce qui est différent de la journée. La brise qui glisse sur mon corps est agréable.
Chaque fois que je m’arrête à un feu rouge, je regarde le panneau bleu sur le mur d’un bâtiment le long de la rue, avec le nom du quartier et de la rue.
Et je comprends vaguement où je suis maintenant.
En pédalant, je ne sais plus où je suis, puis je me souviens que je suis à Paris. Pendant quelques minutes, je me sens soudain détaché de la réalité.
Faire du vélo en plein soleil à travers la verdure est un plaisir rafraîchissant, mais il y a aussi quelque chose à dire sur le calme irréel de Paris la nuit.
パリ本《Paris》
2015年夏・秋のパリ滞在より。WEB版限定公開。
Le livre de Paris.
Après y avoir séjourné en été et en automne en 2015.
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Escargot :
La ville de Paris est divisée en 20 arrondissements, qui tournent comme la coquille d’un escargot.
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Index :
2-3 Bonjour
4-5 Couleurs de Paris
6-7 La manière de passer l’après-midi
8-9 Les petits oiseaux et les fromages
10-11 La ville dans la nuit
12-13 Premier achat
14-15 Oeuf de neige
16-17 Mémoire de la forêt
18-19 Jardin de la fontaine
20-21 Bonne journée
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Bonjour. :
“Bonjour”
La sonorité du français me semble très douce.
Quand on parle la langue locale, on se sent un peu plus proche des gens qui y vivent. Paris, ça ressemble à quoi ? Un simple coup d’œil dans la vie parisienne révèle peu à peu ceci et cela de la ville de Paris.
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Couleur :
Si je devais décrire les rues de Paris en termes de couleurs, le beige et le gris seraient essentiels. La plupart des bâtiments sont en pierre beige, avec des toits gris.
Les balcons, les rampes de fenêtres et les lampadaires sont d’un gris plus profond.
Lorsque je suis venue à Paris pour la première fois en avril, il faisait encore trop froid pour appeler cela le printemps, et le temps instable avait imprimé dans mon esprit que Paris était une ville qui était faite pour les ciels nuageux.
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Sieste :
Dans les jardins de Versailles, sur les pelouses du jardin du Luxembourg, sur les rives du lac de Fontainebleau, partout il y avait des gens qui se reposaient et se relaxaient.
J’ai vu des densités où la distance avec le voisin est moins de deux mètres.
Comme je ne connais pas cette habitude, l’image semble un peu comique, mais quand on me dit qu’une fois l’été terminé, le ciel est gris en permanence et qu’il pleut beaucoup, cela me semble compréhensible.
Certains sont allongés pour lire un livre, d’autres sont assis pour discuter, profitant au maximum de cet après-midi d’été.
Avant de m’en rendre compte, j’avais pris l’habitude de faire une sieste au milieu de la journée.
Si je vois une pelouse, je vais m’y allonger.
Quand on est à Rome, on fait comme les Romains. On s’y habitue.
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Marché :
J’ai vu un marché des petits oiseaux. Perruches, Calopsittes et Diamant mandarin. Il y avait un oiseau au ventre vermillon et aux plumes jaunes avec un peu de bleu clair et de vert jaunâtre doucement mélangés, comme une peinture de Klee. Il y avait aussi des lapins, des écureuils et même un gros poulet, alors je me suis demandé si c’était un marché comestible…un dimanche après-midi.
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Vélo :
Une balade nocturne à vélo à travers Paris.
La rue est calme, ce qui est différent de la journée. La brise qui glisse sur mon corps est agréable.
Chaque fois que je m’arrête à un feu rouge, je regarde le panneau bleu sur le mur d’un bâtiment le long de la rue, avec le nom du quartier et de la rue.
Et je comprends vaguement où je suis maintenant.
En pédalant, je ne sais plus où je suis, puis je me souviens que je suis à Paris. Pendant quelques minutes, je me sens soudain détaché de la réalité.
Faire du vélo en plein soleil à travers la verdure est un plaisir rafraîchissant, mais il y a aussi quelque chose à dire sur le calme irréel de Paris la nuit.